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    Je remercie David pour son témoignage et la finesse de ses propos.

     

    TEMOIGNAGE le 12/04/2013

    J’ai 41 ans - 3 enfants et chef d’entreprises.

    Tout au long de mon parcours de vie et jusqu’à il y a encore quelques mois, je savais que des événements bloquants ne me permettaient pas de vivre une vie sereine.

    Fragilisé par plusieurs faiblesses, aujourd’hui, je vis des jours bien meilleurs suite à une thérapie en EMDR.

    Tout commence suite à l’attentat de TOULOUSE, en mars 2012.

    La lecture de la presse, media et entourage ne font qu’accentuer et révéler une faiblesse enfouie de longue date mais jamais définie ou avouée. Très sceptique de toutes méthodes de psychothérapies, mon épouse me conseille une séance d’EMDR pour faire face à ce mal être. Si mal en point, je me laisse convaincre et je fais une séance d’1h30 d’EMDR .

    Très agréablement surpris de l’effet immédiat sur mon ressenti. Je me sens apaisé. J’attends de voir si les angoisses liées à ces évènements se sont estompéés ou disparues. Ni l’une, ni l’autre, juste :

    « Le souvenir n’avait pas disparu, mais les sentiments et ressentis liés à ces évènements n’avaient plus lieux d’être et ne se manifestaient plus. »

    Ravi et soulagé, je continue à passer quelques mois plus tranquilles. Puis, d’autres évènements extérieurs, liés à des Etats en situation de guerre, viennent une fois de plus assombrir mon quotidien. Les émotions sont difficiles à retenir, mon entourage s’en aperçoit et ne comprend pas. Une fois de plus mon épouse, observe que mes émotions sont peut être liées à mon enfance et me conseille une fois de plus de me rapprocher de Nicolas Desbiendras pour voir si L’EMDR peut me venir en aide.

    Après les 3 premières séances, ce poids lourd, bloquant, sombre s’est détaché. Les effets sont surprenants et rapides. La thérapie n’est pas douloureuse, bien au contraire.

    Non seulement, je me sens mieux, je vais mieux. Ce lourd boulet est aujourd’hui traité.

    Je remercie Nicolas DESBIENDRAS pour ce travail.

    « Un nouveau printemps attend chacun de nous à compter du moment où l’on accepte de se faire aider pour accepter l’hiver.  L’hiver n’est pas si mauvais … . »

    Plusieurs relais d’opinions favorables de l’EMDR sont fait autour de mes proches et mêmes des professionnels.

     

     

     

     


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  • Voici le témoignage que François m'a confié quelques temps après la fin de sa thérapie. Je l'en remercie grandement pour les patients que ce témoignage pourra aider.

    Voici ces quelques mots pour témoigner du travail que j'ai accompli, sous votre égide, entre Mai et Novembre 2012, durant 13 séances en votre cabinet.

    Ce qui était ciblé, étaient les conséquences de la guerre d'Algérie mon pays de naissance, où je n'envisageais pas de revenir faute de stabilité émotionnelle. Le seul fait d'y penser me plongeait dans une phobie.

    J'ai gardé depuis l'âge de 8 ans tout ce climat de terreur, de couvre feu, et de déracinement, qui m'a valu, un échec scolaire, des peurs indirectes, de l'anxiété. Dès qu'une situation était tendue, ces souvenirs revenaient et me plongeaient dans un état d'angoisse, invalidant.

    Ceci était le trauma originel, mais j'ai pu constater, qu'il y avait des rhizomes, qu'il a fallu cibler, et traiter comme des mini traumas.

    Au fur et à mesure, je mesurais à quel point dans une même situation, le retentissement émotionnel était à peine perceptible.

    Mes émotions qui me troublaient, baissaient, et un nouveau comportement s'installait.

    Une transformation du comportement s'opérait, et s'opère encore, en raison de la fin de cet "état d'alerte", et de vigilance dans lequel, je m'étais installé depuis cette période.

    Oui je confirme que ce travail impacte bien le cerveau limbique, et provoque bien la disparition de l'excès de ces émotions négatives qui m'ont bien, comme à beaucoup de monde, perturbé, dans le courant de ma vie personnelle, et professionnelle.

    Puisse ce témoignage, encourager, et motiver, les gens en souffrance qui doivent profiter des avancées de la neuro science, pour changer leur vie, et accéder à plus de bien être.

    Je fais cette déclaration en mon âme et conscience, pour servir ce qui va dans le sens d'une belle transformation.

    Avec toute ma gratitude, et mon cordial souvenir.

     



     

     

     

     


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  • Vincent a 40 ans et est père de deux enfants. On lui a diagnostiquer une tumeur au cerveau.

    En septembre 2011, alors que je m'apprêtais à fêter mes 40 ans, les médecins ont découvert une tumeur maligne à l'avant de mon cerveau. Ce fut le début d'un parcours de 15 mois, avec au programme : trois opérations ponctuées par 30 séances de radiothérapie et trois sessions de chimio plus qu'éprouvantes. Le tout avait fait son lit sur les relations plus que conflictuelles que j'entretenais avec mon père depuis de très longues années. Sans le savoir, mes accès de colère étaient dus à ce duo insidieux. Je m'énervais pour rien, tapais sur tout ce qui ne pouvait me rendre les coups, hurlais sur mes enfants. Au cours de l'hiver 2010-2011, j'avais même sombré dans la dépression.

    Entre deux opérations, j'ai découvert l'EMDR et la cohérence cardiaque en lisant les ouvrages de David Servan-Schreiber. C'est avec curiosité, mêlée d'une immense colère, de rage et de tristesse, que j'ai pris rendez-vous avec mon psychothérapeute et appliqué ces deux méthodes. Complémentaires, elles ont été d'une redoutable efficacité. Mes problèmes avec mon père étaient insupportables et m'irritaient dès que je les évoquais. En quelques mois, avec l'aide de mon psychothérapeute, elles sont devenues une partie de ma vie, de mon film. Restait à traiter la maladie qui me grignotait les neurones depuis plus de deux années. Hélas, j'ai dû être opéré une troisième fois, j'ai également eu des problèmes avec certains médecins censés me prendre en charge ... Des événements trop gros pour être digérés compte tenu de l'importance qu'ils prenaient pour moi. A chaque fois, je rechutais et parvenais à me relever. Quelques jours avant mon IRM de contrôle, mon âme était totalement apaisée. Les plaies béantes qui étaient ouvertes depuis longtemps, mais aussi les plus jeunes, ont toutes été pansées en grande partie grâce à ce travail thérapeutique.

     

     


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  •  Marie, 32 ans.

    Marie a subis des attouchements d'un garçon de quatre ans son aîné quand elle avait 11 ans. Ce souvenir douloureux lui est revenu à 25 ans. Voici son témoignage.

     J’ai commencé mes séances d’EMDR, suite aux conseils d’une amie, pour travailler sur un traumatisme autour d’attouchements sexuels survenus dans l’enfance.

     J’ai occulté cet événement pendant des années jusqu’au jour ou j’ai enfin pris conscience qu’il avait des répercussions sur mes relations à mes parents, à mon couple, à mes amis.

     En effet, j’avais développé des relations de dépendance affective avec les autres. Je m’investissais beaucoup dans les relations pour être à la hauteur des espérances des autres, pour être toujours aimée. J’étais profondément frustrée et déçue lorsque le retour d’autrui n’était pas conforme à mes attentes. L’équilibre ne caractérisait pas mes relations.

     Je ne pouvais pas construire une relation de couple saine avec une sexualité épanouissante dans la mesure où les hommes me faisaient terriblement peur.

     Je n’étais pas capable d’accorder ma confiance.

     Je me suis oubliée, rejetée, désaimée pendant longtemps jusqu’à ce que j’aie décidé que ca allait cesser.

     

    Au début, j’ai posé le cadre de mon histoire et j’ai expliqué pendant toute une séance (la première) sur quel point je souhaitais travailler et pourquoi.

     Je dois avouer que je restais perplexe face à cette méthode de traitement que je ne connaissais pas et surtout par rapport aux conséquences des séances.

     J’ai été très vite rassurée et j’ai compris que c’était moi qui travaillais pour examiner cette situation traumatisante et faire en sorte qu’elle fasse partie de moi sans être traumatisante.

     Lors de la 3ème séance, j’ai pu revivre la situation traumatisante en images mais aussi en couleurs, en odeurs et en parole.

     Je me suis vue en train de sortir de la cage dans laquelle je m’étais enfermée petite. Je me suis sauvée moi-même. La grande fille d’aujourd’hui est venue secourir la petite enfermée. Je me suis pardonnée aussi et j’ai pardonné à mes proches de ne pas m’avoir secouru.

     Ca a été un véritable choc, une vague d’émotions intenses et libératrices.

     Je pouvais enfin avoir confiance en moi, me protéger moi-même et j’ai lâché prise par rapport aux attentes des autres à mon sujet. Je vis pour moi désormais.

     Grâce à un travail encadré et progressif sur des situations du passé ayant un rapport avec le présent, au bout de 4 séances intenses, le traumatisme ne guide plus ma vie, j’ai des relations saines avec les autres, je suis en accord avec moi-même et je me sens apaisée.

     L’EMDR m’a permis de trouver un équilibre durable en quelques séances.

     


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  • François était casque bleu au Liban, à son retour il souffrait de syndrome post-traumatique. Voici son témoignage.

     

    Tout d'abord, la thérapie m'était grandement nécessaire, pour plusieurs choses. Lorsque je suis rentré du Liban, je n'avais aucune envie de rire, m'amuser, sortir, dormir et même manger à ce moment-là. J'ai perdu beaucoup de poids, me reposer convenablement m'était presque impossible, je faisais énormément de cauchemars. Je sortais tellement peu car la moindre chose banale, un bruit d'avion, l'odeur de l’essence, etc. me mettaient mal à l'aise. Trop de souvenirs remontaient.

     

    Aujourd’hui, grâce aux soins, je peux sortir à nouveau sans aucun problème, ce qui m'as permis de rencontrer mon amie actuelle. Mon « hyper-vigilance » a disparu, je ne fais plus de cauchemars en rapport avec le Liban mais des rêves classiques, l'appétit est revenu, j'ai repris du poids, la libido est réapparue, je me suis remis à faire du sport.

     

    Enfin, je sais que la thérapie fut bénéfique pour moi et mon entourage car maintenant je suis capable de vivre avec ces souvenirs et de ne plus les considérer comme un fardeau. Aujourd’hui, je suis fier de ce que j'ai fais.

     


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